J'ai acheté Jude Law. Mais je n'ai pas craqué pour M. Virgin, alias Charly-au-torse-légèrement-poilu-et-appétissant-à-la-fois, malgré ses avances "Je peux vous offrir la carte fidélité de Virgin si vous voulez...". Merci Chouquette.
Je te remercie aussi pour m'avoir construit une vie pour les deux-trois jours de ta visite (peut-on vraiment compter le jeudi ?!). Grâce à toi, je me suis acheté mon premier bijou de portable, j'ai vu le crabe du Japon lors de notre visite assez spooky du Museum d'Histoire Naturelle de Rouen et je me suis acheté mon premier T-shirt à H&M (et j'ai aussi découvert comment marchait Tarentino sur la Croisette et ce qu'était le Caca Nature). Mais à cause de toi, j'ai la carte de fidélité de Six, j'ai détruit mon jean tout neuf et j'ai failli avoir la pneumonie (comment ça j'en fais trop ?!).
Et tu peux me remercier pour cette Epic Loving Rob Night où nous avons pu fantasmer telles des utilisatrices d'Eau Précieuse sur un type qui s'épile les sourcils. Et où nous avons massacrer une colonie d'araignées géantes qui avaient pris mon canapé en otage * . Et tu peux aussi me remercier pour les Weirdest Cookies Ever, qui étaient certes moches, mais délicieux.
P.S. : Je t'aime.
* Pour tous mes fervents lecteurs, qui, je le sais, sont fans de ma prose, voici l'épisode de l'éclatage arachnéen...
3h00 du matin, intérieur, appartement de Marie. Marie et son amie V. (nous tairons l'identité de l'héroïne pour des raisons confidentielles) sont dans le canapé-lit, boivent du soda en quantité industrielle et palpitent de la culotte en regardant leur film préféré. Soudain, V. s'exclame "Je crois avoir vu quelque chose bouger !", à quoi sa camarade répond "Barf, ça doit être le drap, j'ai dû gigoter." ; V. réplique par "Attends, je vais allumer la lumière.", puis s'exécute (ça veut pas dire qu'elle se suicide, elle allume la lumière donc). Et là c'est le drame.
Une fois la pièce inondée de lumière, un prédateur invertébré arthropode de la classe des arachnides grimpe à la vitesse du son sur l'accoudoir du canapé. La réaction de nos deux compères se résume alors à un hurlement primaire suraigu comparable à une alarme d'Opel Vectra "Aahhh!mon!dieu!quelle!horreur!une!araignée!cest!horrible!mon!dieu!aaahh!". Les deux amies sont totalement inconscientes du monde qui les entoure, c'est-à-dire les voisins, et cherchent une contre-attaque à cette cette invasion terroriste. V. demande alors à Marie "Donne moi un truc dur, un magazine, par exemple !" et Marie lui crie "Tiens voilà mon chausson" ; armée d'une pantoufle, V. a le courage d'éclater la menace mais n'a cependant pas la bravoure de ramasser son cadavre avec du papier absorbant pour le jeter à la poubelle ; Marie a eu cette bravoure. Et c'est ainsi que termina la Bête, au fin fond d'une poubelle Max (14,50 € chez Alinéa), au milieu de restes de pâte à cookies et de lait de coco...
Je te remercie aussi pour m'avoir construit une vie pour les deux-trois jours de ta visite (peut-on vraiment compter le jeudi ?!). Grâce à toi, je me suis acheté mon premier bijou de portable, j'ai vu le crabe du Japon lors de notre visite assez spooky du Museum d'Histoire Naturelle de Rouen et je me suis acheté mon premier T-shirt à H&M (et j'ai aussi découvert comment marchait Tarentino sur la Croisette et ce qu'était le Caca Nature). Mais à cause de toi, j'ai la carte de fidélité de Six, j'ai détruit mon jean tout neuf et j'ai failli avoir la pneumonie (comment ça j'en fais trop ?!).
Et tu peux me remercier pour cette Epic Loving Rob Night où nous avons pu fantasmer telles des utilisatrices d'Eau Précieuse sur un type qui s'épile les sourcils. Et où nous avons massacrer une colonie d'araignées géantes qui avaient pris mon canapé en otage * . Et tu peux aussi me remercier pour les Weirdest Cookies Ever, qui étaient certes moches, mais délicieux.
P.S. : Je t'aime.
* Pour tous mes fervents lecteurs, qui, je le sais, sont fans de ma prose, voici l'épisode de l'éclatage arachnéen...
3h00 du matin, intérieur, appartement de Marie. Marie et son amie V. (nous tairons l'identité de l'héroïne pour des raisons confidentielles) sont dans le canapé-lit, boivent du soda en quantité industrielle et palpitent de la culotte en regardant leur film préféré. Soudain, V. s'exclame "Je crois avoir vu quelque chose bouger !", à quoi sa camarade répond "Barf, ça doit être le drap, j'ai dû gigoter." ; V. réplique par "Attends, je vais allumer la lumière.", puis s'exécute (ça veut pas dire qu'elle se suicide, elle allume la lumière donc). Et là c'est le drame.
Une fois la pièce inondée de lumière, un prédateur invertébré arthropode de la classe des arachnides grimpe à la vitesse du son sur l'accoudoir du canapé. La réaction de nos deux compères se résume alors à un hurlement primaire suraigu comparable à une alarme d'Opel Vectra "Aahhh!mon!dieu!quelle!horreur!une!araignée!cest!horrible!mon!dieu!aaahh!". Les deux amies sont totalement inconscientes du monde qui les entoure, c'est-à-dire les voisins, et cherchent une contre-attaque à cette cette invasion terroriste. V. demande alors à Marie "Donne moi un truc dur, un magazine, par exemple !" et Marie lui crie "Tiens voilà mon chausson" ; armée d'une pantoufle, V. a le courage d'éclater la menace mais n'a cependant pas la bravoure de ramasser son cadavre avec du papier absorbant pour le jeter à la poubelle ; Marie a eu cette bravoure. Et c'est ainsi que termina la Bête, au fin fond d'une poubelle Max (14,50 € chez Alinéa), au milieu de restes de pâte à cookies et de lait de coco...
Et sinon, je reconstitue ma flore...
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