Summer Laziness #3

Visible illusion
Where it starts it ends
Love like a sunset

Summer Laziness #2



Moi rigoler, ça me fait rire, je trouve ça marrant.

Summer Laziness #1


Take me where I long to be...

Le vent du jour !

Je suis retournée à Rouen car il est grand temps que je révise pour la session de rattrapage. Je suis arrivée mercredi soir en faisant un léger détour par le McDrive pour aller me chercher mon plateau télé à déguster devant "Secrets d'Histoire" parce que j'aime bien Stéphane Bern et pour faire coucou à L. aussi. C'est celle qui a une casquette. Puis elle est venue me faire un bisou à minuit après son travail et on a discuté potins sur nos copains bouseux. Et on s'est surtout prévu une journée fac-Subway-shopping.
A 11h22, un petit coup de 16 et un petit coup de T1, nous voilà à la fac. Vide. Le panneau d'affichage nous indique que les dates seront affichées le 30 août et les examens débuteront le 1 septembre. Donc là, on a bien rigolé, parce que y'a que à nous que ça peut arriver ce genre ce truc. Perdre son temps devient un véritable mode de vie.
Seul un sandwich au poulet peut nous remonter le moral. Mais, horreur et damnation, Damien ne travaille pas ce midi. Y'a des jours comme ça où tout fout le camp. Le shopping compulsif reste ma dernière consolation. Ainsi que M. New Look, que j'avais déjà envisagé d'inviter dans ma cabine d'essayage une fois, et que j'ai failli demander en mariage avec des messages subliminaux (Lui : "Vous réglez comment ?" Moi : "Par carte, tu veux m'épouser, merci-aurevoir-bonnejournée"). J'ai fait une folie en m'offrant l'eau de toilette Coco Mademoiselle de Chanel à Sephora, parce que bon, fallait bien inaugurer ma misérable paye. Après des achats tous plus impulsifs les uns que les autres (j'ai tout de même investi dans un portefeuille en liberty et un bouquin avec la Reine d'Angleterre en couverture qui ne traite pas de la Reine d'Angleterre) et les bras chargés de sacs en tout genre (dont celui des fringues sales que j'ai trimballé toute la journée), me voici dans le train du retour vers ma solitude et mon désespoir.


Et sinon, je crois bien que j'ai perdu mon mojo de l'écriture, ce qui est très frustrant.